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 [CI] Concours de récits

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4 participants
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bugman59
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bugman59


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Bandes jouées : Plus rien malheureusement...
Date d'inscription : 19/11/2012

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MessageSujet: [CI] Concours de récits   [CI] Concours de récits Icon_minitimeDim 7 Avr 2013 - 17:31

Bon, le concours de récits est lancé ! Vous avez jusqu' au 22 Avril pour écrire vôtre récit.

Règles: chaque participant fera un texte de 25 à 75 lignes. Il le mettra dans ce sujet. Aucun commentaire ne doit apparaître dans ce sujet.
Ensuite, quand les participant auront tous mis leur récit ici, j' ouvrirai un sujet où tous les membres du forum pourront voter pour le meilleur récit d' après eux.
Les votes s' arrêteront le 29 Avril, et le membre qui a reçu le plus de vote sera le meilleurs bardes du forum. Si vous avez des questions, envoyez moi un MP.
Thème: Vôtre récits devra se dérouler dans Mordheim ou ses environs.
Note: Vôtre récit doit avoir un titre.

Inscrits:
-Ivelle le chaman
-Niko
-Nono05
-Tigibus
-Peut être les fils de Grungni
-Peut être Ehcko


Dernière édition par bugman59 le Ven 19 Avr 2013 - 13:07, édité 1 fois
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tigibus
Vainqueur du concours
Vainqueur du concours
tigibus


Concours Mordheim: : 1er Déc.09 -
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Date d'inscription : 01/06/2008

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MessageSujet: Re: [CI] Concours de récits   [CI] Concours de récits Icon_minitimeLun 8 Avr 2013 - 13:55

Tigibourg La Douce , par Tigibus :

Tigibourg la Douce !

La proximité de ce charmant village avec Mordheim a longtemps été une bénédiction. Toutes les attentions se sont toujours concentrées sur la sombre cité et très peu eurent connaissance de l’existence de Tigibourg. Et, à l'exception d'un groupe de peaux vertes qui campent régulièrement dans le Vieux Castle, à quelques heures du village, les troubles assombrissant le Vieil Empire semblait ignorer cet endroit.

Puis, un tremblement de terre ouvrit la colline, révélant une mine d'argent dans les collines voisines. L’apparition de ce site fût l'événement le plus important de Tigibourg; pour certains, le plus tragique.

Les villageois, ignorant tout du métier de mineurs, furent heureux de voir des nains proposer leurs services pour récolter le précieux métal. Services qui, d'après le Maître Ingénieur ne coûteraient qu'un "faible" pourcentage. Le Bourgmeistre, novice dans les relations commerciales avec les nains, n'hésita pas un instant pour signer le contrat. Mais la mine fut tellement riche, que malgré la généreuse commission des nains, les trésors du village ne cessèrent de grossir.

Le village, jusque-là si paisible, se mit à prospérer à une vitesse inattendue.
Les chemins de terre qui serpentaient entre les maisons fût remplacés par des rues pavées, un système d'évacuation des eaux usées fût construit, bouleversant toutes les structures du village, dont seul subsistent aujourd’hui quelques vieilles bâtisses.
Le commerce pris son envol comme jamais auparavant. Les petits embarcadères le long du fleuve furent remplacés par un port, sans cesse grandissant. Les charrues qui approvisionnaient les villageois devinrent un défilé de caravanes.
La population augmenta tant que des quartiers durent être construits, envahissant sans remords les champs alentours, forçant agriculteurs et éleveurs à quitter les environs.
L'industrie se développa également. Des fumées noires des forges assombrirent le ciel et le bruit des chocs des marteaux contre les enclumes mit un terme au calme si apprécié jadis. Une grande scierie exploita la forêt jusque-là redoutée. Les vieux contes et légendes sur des êtres féeriques furent remplacés par des histoires des créatures hantant les sylvestres ténèbres et attaquant les bucherons.
Très vite, la circulation de l'argent fût difficilement contrôlable par les Agents du Trésor, et la corruption devint une activité courante. Les plus riches engagèrent des mercenaires pour assurer leur protection, ou bien pour "suivre leur affaires de plus près".

Tous ces bouleversements divisèrent les natifs sur leur tranquillité et sur leur sécurité. Les uns remerciaient les dieux pour ce cadeau qui leur apportait fortune. Les autres mettaient en garde qui voulait bien les écouter, qu'il s'agissait des prémices de l'arrivée des Grands Démons et de la déchéance. Ce sujet de discorde se transforma en guerre de clans. Un service d’ordre fut mis en place dans l’espoir de calmer les fouteurs de troubles. Les geôles aussi, ont été construites. Mais la corruption s’avéra plus forte que ce à quoi on pouvait s’attendre.
Voyant la métamorphose de leur ville, les plus faibles et les plus pauvres, ceux ne pouvant s’offrir les services de protecteurs préférèrent quitter Tigibourg. Les habitations abandonnées, devenaient des lieux propices aux scats ou, pour les bâtisses les plus en retrait, des lieux de mystérieuses réunions lors de certaines nuits sans lune.
Pourtant, la population ne cessa de s’accroître. Et en dépit des efforts du Bourgmeistre et de sa milice pour étouffer les divagations des uns et des autres, les histoires de richesse, d’aventures, de débauches et d’impunité réussirent à s’exporter au-delà des portes de la ville, attirant toujours plus de curieux, bienveillants ou non.

Puis vint le jour où les mineurs ont déclaré et certifié que la mine était épuisée. Les experts nains se sont retirés des profondes galeries. Cependant, le Bourgmeistre décida de garder la mine ouverte à tous sous condition d’un paiement.
Ainsi, très souvent, on put voir des mineurs indépendants, professionnels ou non, descendre à la recherche du précieux métal. Mais plus rare encore fut de les voir sortir vivants. Pourtant, ce petit détail préoccupa moins les gens que le mensonge éhonté des nains, car il était désormais évident que le gisement n’était pas aussi épuisé que le prétendaient les nains. Pourquoi donc ces Maîtres des Mines, qui sont bien connus pour fouiller et creuser jusqu’à vider jusqu’à la dernière poussière un gisement minier, ont abandonné les lieux? Certain raconte qu’un des mineurs nain était revenu dans les mines. Sa barbe et ses cheveux avaient changé de couleur, et sans dire mot à quiconque, il descendit dans la mine qu’il connaissait si bien. Ou, plutôt, qu’il croyait connaître. Il fut de ceux qu’on ne revit jamais plus.
Mais la légende la plus colportée reste celle qui raconte l’histoire du trésor des mineurs nains accumulé pendant toutes ces années d’exploitation au plus profond des mines et abandonné dans la précipitation de leur fuite. Cette histoire laissant libre cours à l’imagination des bardes qui trouvent moult raisons à la débâcle des nains.

Peu de temps avant le départ des nains, des petits groupes de villageois furent détachés pour entretenir les égouts de la ville. Les tunnels, pourtant pas si anciens se mirent à se détériorer à vue d’œil. Quelques témoignages se firent entendre. D’abord un, puis cinq, puis vingt…, et des histoires d’ombres fuyantes, d’étranges lueurs et de bruits se rapprochant plus d’un sifflement inhumain qu’à des grognements, se racontèrent dans les auberges.
Il ne fallut pas longtemps aux gens pour accuser les mineurs d’avoir provoqué quelque force mystérieuse. Après tout, ils l’avaient déjà fait de par le passé, non ?

Pour achever le moral des braves gens, des maladies jusque-là inconnues arrivèrent dans la ville où jadis la vie était saine. Les malades les plus chanceux mouraient rapidement car, devant l’incapacité des meilleures médecines, la sorcellerie fut la cause la plus évidente pour les habitants de plus en plus terrifiés par toutes ces nouvelles horreurs.
Les plus malades subirent d’affreuses mutations et furent accusés de magie noire, emprisonnés, torturés puis exécutés. Leur seul salut restait la fuite vers les collines ou les forêts, à condition d’être encore capable de se mouvoir.


Tigibourg la Douce n’était plus, Tigibourg la Décadente était née…
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Concours Mordheim: : Kermesse du chaos
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MessageSujet: Re: [CI] Concours de récits   [CI] Concours de récits Icon_minitimeLun 8 Avr 2013 - 19:03

Le Petit Prince


Il regardait la pierre rebondir contre le rebord de fenêtre avant d’aller s’écraser au pied de l’immeuble en contrebas, un léger pincement aux lèvres, il resserra sa prise sur la paroi si friable… Mais pourquoi était il monté si haut ? Souhaitait-il se rompre le cou ?
Le courage commençait à lui faire défaut, lui qui était si téméraire à la cour, lui qui avait à cœur de prouver sa valeur, mais qu’avait-il eu en tête en montant seul cette expédition, n’était-il pas fou ?

Le jeune prince était très jeune, tout au plus 16 ou 17 printemps, mais sa fougue n’avait d’égale que son entêtement, et la façon dont le traitaient ses tuteurs l’agaçaient profondément. Rien ne l’avait jamais plus intéressé que les mirobolants récits des aventuriers venus compter leurs exploits à la cour de sa mère.
Depuis quelques mois, Dame Magritta n’avait de cesse d’envoyer ses groupes de mercenaires vers cette cité détruite, les richesses qui s’y trouvaient devaient, espérait-elle, assoir sa puissance et faire reconnaitre au grand théogoniste sa légitimité sur le trône d’impératrice. Mais ça Baltus n’en avait cure, la seule chose qui l’intéressait c’était l’aventure qu’elle lui refusait à lui, son propre fils, il allait lui montrer sa propre valeur, et lui apporterait lui-même les richesses qu’elle convoitait tant…

Les subterfuges pour quitter Marienburg et échapper à la vigilance de ses tuteurs avaient étés facile, le voyage qui suivit jusqu’à la cité maudite, bien qu’un peu long, ne fut pas non plus bien compliqué, et bien qu’il ait renoncé au luxe et au confort de la cour, il s’en accommodait, son souhait le plus cher étant de courir l’aventure… Mais au-delà de ça, se retrouver si haut perché presque au sommet d’un immeuble en ruine prêt à s’effondrer lui donnait tout d’un coup bien plus de matière à réfléchir…
De là ou il en était arrivé, il n’arrivait pas encore à distinguer cet objet luisant qui avait attiré son attention, mais il était certain que ce devait être un fabuleux trésor. Bon et puis, l’escalade mis à part, il ne semblait pas si dangereux de se balader dans les rues dévastées de Mordheim, jusque là il n’avait rencontré aucun des si terrifiants monstres dépeints par ses pairs à la cour et commençait à se demander si les mercenaires de sa mère n’exagéraient pas un peu leurs récits au point d’inventer leurs légendes si fabuleuses...
Il pénétra enfin dans le bâtiment par une fenêtre dont le volet avait été arraché, et du palier, pu grimper le dernier étage grâce aux restes d’un escalier qui, bien que branlant, subsistait toujours. L’arrivée au sommet lui offrit une vision apocalyptique, le toit arraché par le souffle du cataclysme laissait au jeune prince une vue panoramique presque intégrale sur les ruines de la cité… Là il pu contempler les ruines encore fumantes s’étendant à perte de vue, partout où ses yeux se posaient, il ne trouvait que désolation et destruction, parois d’immeubles éventrées, toits arrachés, et comble de l’horreur dans les bâtiments les plus proches de lui il lui arriva de distinguer un ou deux membres décharné des restes de corps humains dépassant des décombres… Devant un tel spectacle, l’expression de la colère des Dieux prit tout son sens, et son impact sur la ville lui laisserait à l’esprit une marque indélébile...

Il sortit de ses songes, n’oubliant surtout pas ce pourquoi il était venu, et franchit une dernière porte à moitié éventrée pour atteindre la pièce d’où il estimait que devait se trouver la lueur qu’il convoitait. Il tomba alors nez à nez avec un énorme caillou presque noir et luisant aux reflets de la faible lumière du jour qui perçait les sombres nuages. Subjugué, son regard se figea un long moment sur la pierre, elle l’attirait inévitablement, à tel point qu’il finit par s’en saisir pour l’enfouir précieusement au fond de son sac… Dès lors, il tenait sa revanche, et si avec ça, sa mère lui refusait sa reconnaissance,… rien au monde ne le lui permettrait…
Son sac une fois correctement fermé et arrimé sur son dos, il se retourna subitement pour rejoindre la sortie et entreprendre sa redescente, mais là, il se retrouva subitement face à trois hideuses créatures aux dents proéminentes. Il ne pouvait vraiment les définir, il aurait dit à les voir si poilues qu’il eut pu s’agir de rats si ce n’était leurs lambeaux de vêtements, leurs armes et autres pièces d’armure et leur taille presque humaine... Jamais il n’avait entendu récit de ces étranges créatures, mais à les voir si menaçants et grimaçants, il comprit vite qu’il aurait fort à faire avec eux…
Au pied du mur, prenant son courage à deux mains, Baltus se saisit de son épée pour faire face, se mit en position de combat, fouillant dans sa mémoire des bribes de préceptes que ses maîtres d’armes avaient essayé de lui inculquer, et se préparant à repousser l’assaut imminent, fit un pas en arrière...
Le combat fut rude et âpre, si tenir tête à un adversaire ne lui faisait pas peur, face à trois ennemis il ne faisait pas le poids, il lutta de toutes ses forces jusqu’à en arriver à bout de souffle lorsque soudain, le plancher sur lequel ils combattaient s’effondra, les faisant choir tous les quatre puis l’étage suivant fit de même ainsi que le suivant encore... Secoué, étourdit par la chute et noyé dans la poussière suffocante soulevée par l’effondrement, le jeune Prince perdit connaissance...

Lorsqu’il se réveilla, nul ne saurait dire combien de temps plus tard, il n’était non plus encerclé de skavens mais au contraire, un visage familier et bienveillant se penchait sur lui, il reconnu instantanément Van Tassel, son mentor et maître d’armes à Marienburg… Celui-ci, semblait-il, était à sa recherche depuis des semaines. Lui et son groupe venaient de mettre en pièces une douzaine d’hommes rats, leurs cadavres gisaient encore ça et là autours d’eux, certains avaient même étés entièrement démembrés, mais les hommes de Van Tassel ne semblaient pas non plus tous indemnes, certains d’entre eux s’afféraient ça et là à soigner les blessés, tandis qu'ailleur le jeune prince put appercevoir au moins l'un d'eux qui ne bougeait plus du tout… C’est alors qu'un détail lui revint en tête, et portant la main à son dos ne put que constater avec effroi la disparition de son sac… Paniqué, il chercha alentours du regard s’il parvenait à l’apercevoir… Rien… Un sentiment de détresse put se deviner sur les traits de son visage, ainsi donc il aurait fait tout ça pour rien ?... Van Tassel, comprenant ce qui semblait le troubler le rassura d’un sourire et lui tendit son précieux sac...
La détresse céda la place à une immense joie, il tenait sa fortune et pourrait ainsi prouver sa valeur à sa mère en lui rapportant son précieux trophée…
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Ivelle le Chaman
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MessageSujet: Re: [CI] Concours de récits   [CI] Concours de récits Icon_minitimeVen 19 Avr 2013 - 19:38

Récit d'un voyage à Mordheim par un gnoblar

*Un peu à l'écart d'un camp d'Ogres des gnoblars sont en train de se battre autour d'une pointe de flèche. Quand soudain l'un d'eux surgit et les écartes à coup de gourdin. Les autres le regardent d'un air ahuri. Il se place fièrement devant eux ses mains tenant son grand manteaux au col de fourrure*

- Mes p'tits gars j'vais vous conter une histoire !

On m'nomme, Le Duc, et j'étais l'plus fidèle serviteur de son altesse sérénissime Kurninson, le Gastron'Homme, l'plus grand et l'plus puissant de ceux qu'nos maîtres les Ogres appellent "les Mangeurs d'Hommes".
on étais accompagnés par Ugly les bons boyaux, un puissant représentant d'la Gueule, ainsi qu'par Mahi'Té, vétérane armée d'son monstrueux rouleau à moelle et pour finir Pic-Assiette qu'était bardé de coffres. Y'avait aussi plusieurs autres laquais, des congénères qu'étaient même pas capables d'm'obéir convenablement.

Mon maître a décidé un jour d'nous emmener à Mordheim, i' disait qu'là-bas i' f'rait fortune et r'viendrait montrer tout ça à ceux qu'ose pas bouger pour les faire baver d'envie devant ses richesses.
Déjà, nous avions passé une s'maine dans c'te ville et bin j'peux vous dire qu'tout c'que les autres en disent c'est même pas vrai. Mon maître a marché dans les plus grandes rues, c'est sans peur qu'il a écrabouillé des humains, des gobelins et même des elfes.

Mais la deuxième s'maine nous nous sommes enfoncés plus profondément dans la cité et là les environs s'sont fait plus menaçants, j'ai donc pris l'initiative d'me rapprocher d'son altesse pour la servir au mieux.

Une nuit nous avons été attaqué par plein d'Hommes-rats devant la puissance de sa majesté ils ne purent que fuir, mais visiblement certaines d'leurs armes étaient empoisonnées car l'seigneur Pic-Assiette fut pris d'une terrible fièvre et quelques jours après il était mort et fut démembré, les différents morceaux servirent au sorcier pour lancer des sorts.

Les assaillants r'vinrent encore et encore prélevant à chaque fois un tribut, des fois c'était d'la nourriture, des armes ou un laquais. Au bout de dix jours nous n'étions plus que trois. Ugly avait périt lors d'une embuscade où une sorte de croisement entre un rat et un ogre s'était j'té sur lui, bien sûr, le monstre fut tué à coups de rouleau à moelle par Mahi'Té. Celle-ci mourru 2 jours plus tard en avalant un globe de verre qu'un homme-rat lui avait lancé.

Son altesse sérénissime décida que rien n'l'arrêterait et continua à marcher droit devant lui c'est ainsi qu'il traversa la Mordheim et que nous nous retrouvâmes à la sortie. Mais bien sûr il refusa de s'avouer vaincu par cette cité et fit demi-tour pour aller conquérir ses richesses. Malheureusement, sa marche était bien trop rapide pour moi, je n'eus d'autre choix qu'l'attendre là pour veiller sur ses arrières, les minutes passèrent et ne le voyant pas revenir je décidais que le mieux pour nous deux était qu'j'trouve une autre altesse sérénissime que j'puisse servir.

Voilà comment s'passa mon voyage dans la cité des damnés. Alors maintenant on est d'accord que l'truc qui brille est à moi !


*C'est après cette phrase que les autres se jetèrent sur lui et le frappèrent à coup de vieux cadavres de furet jusqu'à ce que mort s'en suive. Ainsi périt le dernier membre de l'expédition de Kurninson, le Gastron'Hommes.*
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MessageSujet: Re: [CI] Concours de récits   [CI] Concours de récits Icon_minitime

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