Alors alors....
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Les flèches pleuvaient. Il en arrivait comme de partout à la fois, quiconque aurait passé la main par la fenêtre à ce moment aurait repartir avec une nouvelle prothèse.
Confortablement calé derrière une table renversée, le capitaine Vitellozzo Vitelli terminait la rédaction d'un rapport en triple exemplaire sur la situation récente de Mordheim.
Il reboucha soigneusement son encrier, sans se presser, le rangea dans sa besace qui ne le quittait jamais, puis grimaça légèrement lorsqu'une flèche transperça carrément la lourde table en bois pour se figer là où se trouvait l'encrier quelques secondes plus tôt.
“-Caporal ! Cette table ne tient plus, sont-ils enfin bientôt à court de flèches ? Faites quelque chose immédiatement !
Le caporal Grassini, planqué derrière un morceau de maçonnerie qui ne s'était pas encore effondré serrait contre lui sa vieille arquebuse familiale et tenait résolument son casque enfoncé sur la tête.
-Caporal ! Mais bougez vous un peu ! Votre officier supérieur vous donne un ordre !
Le caporal risqua un œil par dessous son casque. Il avait la figure très rouge, et un physique qui aurait mieux convenu à un champion du monde de pétanque qu'à un véritable soldat.
Il acquiesça vaguement, et se tourna vers l'un des soldats qui jouait aux cartes derrière un tas de poutres brisées.
-Soldat première classe seconde brigade de la première division Alder ! Soldat seconde classe seconde brigade de la première division Darail ! Arrêtez moi ces flèches !
Le soldat première classe Alder releva la tête par dessus la barricade juste à temps pour voir la tempête de flèches emporter un gobelin qui passait par hasard.
Il se rebaissa prudemment.
-Heuu, cap'ral, sans vouloir vous 'ffensez hein, mais j'crois que ça risque de pas être trop possib' là. C'pas des elfes ordinaires on dirait, des normaux ils z'auraient p'u d'flèches d'puis un moment si vous voyez c'que j'veux dire. Doivent avoir un magicien ou quelque chose comme. Sans vouloir vous 'ffensez hein, mais là ça s'pourrait qu'on doivent rester planqué. »
Il se tourna vers l'autre soldat : “Et re-belote p'tite tête !”
Le caporal se retourna alors vers le capitaine, toujours coincé derrière la table, en haussant les épaules, l'air désolé.
Vitelli ne le vit pas, il se tenait la tête en soupirant.
C'est heureusement à cet instant là que l'averse se stoppa.
Il y eu un instant de flottement, puis une voix claire retenti jusqu'au bâtiment délabré où la petite troupe menée par Vitellozzo Vitelli avait trouvé un abri.
« Nous espérons que vous avez bien compris le message, ici c'est notre territoire. Et la prochaine fois que vous viendrez nous pendront vos cadavres par les pieds après les avoir vidés de leurs entrailles. On vous refera le visage façon hérisson. »
« On vous laisse une minute pour repartir par là où vous êtes venu »
« Et bonne journée sinon. »
Puis ce fut le silence.
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Voilà un petit paragraphe. Cette fois-ci je vais plutôt avancer par étapes, j'ai un peu de mal à reprendre l'écriture, cela faisait longtemps, je pense que vous avez remarqué.
Donc pour plus de facilité, je vais plutôt poster des courts récits (plus long que celui là quand même), qui se suivent, mais qui n'auront pas forcément de liens entre eux. Quand j'aurais un peu repris du poil de la bête (raah le bac demain aussi !) je pourrais commencer à mettre en place une trame plus profonde. Enfin on verra.
J'avais dis aussi que je ferais du mordheim ces vacances. Et bien il s'avère que je vais pas pouvoir en faire pendant deux semaines, et que ensuite je pars pour un mois à divers points du globe, d'où une certaine difficulté à jouer, car je ne possède pas le don d'ubiquité.
Donc au final j'écrirais moins que prévu, mais bon, je crois que vous ne perdrez pas grand chose de toute façon
Bien entendu j'apprécie vivement les critiques constructives qui me permettront de faire des récits de qualité(et toujours plus axé sur l'humour, pour toujours plus de fun
)((ça sera toujours mieux que les tomates/cailloux/
tirs de lance roquettes ))
Sur ce, dodo !